"Verticales", les cloisons.

Il est vrai qu’en temps qu’échec scolaire, qui donc, par définition, n’ai fait aucune étude, il est probable et j’irai même jusqu’à dire, parfaitement entendable, que l’absence de formation et de diplômes que sont les miens, puisse faire germer chez certains à mon encontre, à défaut d’une illégitimité, en tout cas, un manque de compétence à aborder le moindre sujet, que je me permets, moi de toucher sur mon forum…..

  Mais si c’est une position du lecteur, qui soit éventuellement recevable, il n’en reste pas moins, que je suis en droit par contre de vous juger comme  « cloisonneur d’esprit », pour ne pas dire, « érigeur de parois », à moins que ça ne soit de « défenseur de portes fermées », ce qui m’inciterait, moi, à vous conseiller d’aller bosser dans le bâtiment, section, « huisserie », catégorie « portes et fenêtres », premier escalier, à droite (oui, oui, tout compte fait, à droite, c’est bien là, tout compte fait, que vous devez vous positionner, avec des telle valeurs), troisième couloir, sur votre gauche, après les toilettes, dans la pièce sombre, sur la cinquième étagère, entre le stock de papier à chiotte, tout contre le balai du même nom, et le canard WC (mais non, ça n’est pas un sex toy)…..

  Mais Dieu merci, le fait d’être un ancien échec scolaire, ne m’a jamais empêchée de penser, et cela quelque soit le degré de souffrance que j’ai pu, moi, ressentir, à quelque moment de ma vie, dont il soit question.

Et quand à l’age de 40 ans,  j’ai vraiment pété les plombs, comme on dit vulgairement, hormis une psychiatre, qui refusait de se laisser rattraper par l’age de la retraite, d’où son cloisonnement psychiatrique, aucun,  quasiment, je dois dire, dans le milieu de la psychologie, de la psychiatrie, ou de la traumatologie psychiatrique, n’a nié le savoir qui est le mien, même si c’est l’école de la vie, et mon parcours personnel, qui en furent à l’origine.
Je précise, aussi, si nécessaire, que je suis l’inspiratrice, de bon nombre d’ouvrages, en sciences humaines,  toutes disciplines confondues, dont en psychiatrie, Boris Cyrulnik, ou Marcel Rufot, pour les plus médiatisés.

Et si malgré cela, il s’en trouve encore quelques pointilleux, qui trouveraient à redire, sur ma démarche, quelqu’un soit la raison, je ne saurai trop vous recommander, à vous, de changer de crémerie, et de surtout, m’effacer de l’historique de votre ordinateur,  et de passer votre chemin.
En fait, je dois vous faire une confidence, vous êtes ici « chez moi ». Personne ne vous oblige à rester, quand à moi, j’ai d’autres chats à fouetter, que de me justifier, à plus forte raison, quand on sait à quel point je suis amie, à les animaux à poil, dont il est question.