Pretexte sur FB pour me tirer les vers du nez.

Est ce que les antidépresseurs ont des effets indésirables et ils font une dépendance ?

(j'ai supprimé les autres coms, à voir pour ceux que ça intéressé, sur le groupe FB,
"‎S.O.S Crise de panique, Anxiété, Agoraphobie,Phobie social"...

Evan si tu es bipolaire, je ne saurai trop te recommander de ne pas jouer au con... J'en connais qui y sont restés. Je suis contre moi la médicalisation en règle générale mais prétendre s'en passer de façon systématique, quand on souffre véritablement d'une pathologie mentale est irresponsable vis à vis de toi même et vis à vis de ton entourage que tu es en train de détruire véritablement. Si tu veux, je peux t'indiquer une personne qui est magnétiseuse, qui n'est pas en position extrême de rejet absolu et systématique, de la psychiatrie, ce qui me semble la bonne posture. Et elle t'indiquera qui aller voir, éventuellement.

Je rappelle que si les médicaments qui sont prescrits par les psys présentent le terrible inconvénient d'empêcher ou d'entraver le raisonnement et donc la reconstruction, ils peuvent être nécessaires pour passer certains caps difficiles en temps de crise, au même titre que l'internement psychiatrique, est le seul véritable rempart contre le suicide, quand on y a été emmené à temps.

Je rappelle pour ceux qui seraient tentés de me tester moi personnellement relativement à ma position, face à la psychiatrie, que la seule et unique véritable raison pour laquelle je suis maintenue sous tutelle, s'appelle la raison d'état, et que jusqu'ici les différentes expertises psychiatriques ne m'ont jamais été données à la lecture, et n'ont fait que servir de prétexte "de façon orale", aux juges, qui se sont occupé de ma tutelle.

Je rappelle donc pour la énième fois, pour le cas où certains encore seraient tentés de me tester relativement à ces expertises psychiatriques, que m'ayant été "expliqué", que j'étais une malade mentale en rupture de traitement, j'ai pris l'initiative un jour, d'aller à l'UNACOR, pour rencontrer un psychiatre et qu'on a refusé de me donner une liasse de soin, que j'ai attendu trois heures dans la salle d'attente et qu'on a absolument refusé de me recevoir.

Mon "tuteur", je mets entre guillemet, puisque dans la théorie, un tuteur est sensé veiller sur la personne protégée, alors que le mien, en fait est l'outil de torture psychologique utilisé par la raison d'état pour s'assurer que je reste bien en état de précarité financière absolue, ce dernier donc au tribunal, la semaine dernière, m'a fait sa voir que j'avais un c droit d'accès sur ces expertises.....

Lors de cette "confrontation" j'étais autorisée "officiellement" puisque j'étais COUPABLE d'être une malade mentale, de me faire accompagner par un avocat.

J'avais donc pris mes dispositions pour être effectivement soutenue, considérant l'épreuve, et la demande pour en rencontrer un de toute urgence considérant le fait que j'avais moi entièrement fait le travail, remplie en bonne et due forme, jamais cette demande d'aide n'a abouti.....

Officieusement donc pour raison d'état, cette aide m'a été refusée. Elle l'a été pour me faire comprendre que je n'étais pas coupable, et donc que je n'avais pas à être défendue. et que d'autre part j'avais prétendue être capable de le faire moi même, choses que j'ai effectivement assumée entièrement.

Le revers de la médaille c'est que du coup je n'ai toujours pas accès à mes expertises psychiatriques.

N'importe quel médicament qui ait été prescrit, par un psychiatre, si l'on décide de ne plus les prendre, doit faire l'objet d'un arrêt qui doit être extrêmement progressif, sur une période extrêmement longue et de préférence avec l'accord, du psychiatre.

Mais il peut arriver qu'on soit en rupture, non pas de traitement mais de confiance, avec le psychiatre.

Et dans cette hypothèse il est important, de ne pas prendre cette décision à la légère et d'être soutenue, et de bien réfléchir, avant de prendre une telle décision. Un psychiatre qui a généré une rupture de confiance vis à vis de son patient est un mauvais psychiatre. 9a par contre pour moi c'est une certitude.

Je pense que quand on en arrive à ce stade, de vouloir arrêter les médicaments et que le psychiatre est incapable de gérer, c'est inquiétant bien plus pour la psychiatrie, et le psychiatre que pour le patient. Parce que ça signifie que le patient lui, devient intellectuellement parfaitement autonome vis à vis de son problème, laissant ainsi la voie libre à des dérives qui peuvent être véritablement dangereuses pour le patient et éventuellement pour la société toute entière.

Je précise que mon point de vue n'engage que moi. mais il serait malhonnête de ma part de nier le fait que la psychiatrie me concernant ne soit qu'une terrifiante imposture me concernant n'influence mon discours.

Je précise qu'il n'est pas dans mes habitudes de régler mes comptes via internet et les réseaux sociaux, mais puisque la psychiatrie refuse de me recevoir, je ne vois pas vraiment comment je peux procéder autrement. sinon je leur dirait mon point de vue les yeux dans les yeux.

Je précise enfin que ma posture ne vise pas à blesser, quelque psychiatre qui soit que ce soit par le passé ou bien aujourd'hui, parmi ceux,, qui travaillent dans les medias. mais uniquement de mettre en avant le fait qu'il soit absolument terrifiant pour moi de voir à quel point à mon encontre la psychiatrie d'aujourd'hui puisse se comporter de façon aussi malhonnête tout autant que la Justice.

Je suis parfaitement au courant pour l'expo, au sujet de Camille Claudel, et qu'on veut mon point de vue, etc sur le sujet....

Et bien je fais comme d'habitude.....

Je le ferai quand j'en aurai envie si j'en ai envie. et aujourd'hui, et bien non, j'ai d'autres choses de prévues.