Erotomanie.

C'est la pathologie que l'on m'a diagnostiquée, il y a bien des années, et qui a servi de prétexte au fait, de me transformer en légume, à l'époque.

Rechute l'année suivante, au printemps, aussi. Je veux parler de ma relation, avec Thomas Fersen.

Compte tenu du fait que cette maladie était assez rare par définition, certains préjugés, circulaient y compris, parmi les psychiatres...
Comme celui que ça ne touchait que les femmes.... " comme c'est amusant".

Je dois dire que ça fait bien des années que je me suis intéressée au problème, et que ça n'est que ce matin, donc au bout de bien des années, que j'ai tapé de nouveau ce mot là, sur le moteur de recherche.

http://www.lexpress.fr/styles/psycho/erotomanie-que-faire-face-a-un-erotomane_1270974.html

Et là, "que vois je" ?

Ces messieurs sont enfin rentrés dans le cercle, comme disait ma fille "ça fait bien plaisir".

J'ai lu cet article, avec curiosité, vous pensez bien, et une chose encore m'interpelle....

Au sujet de cette avocate, là, dont il est question, et qui dit au bout de plusieurs années, "peut être qu'il m'aime encore", et que cette réflexion, est interprétée, comme un signe, qu'elle est toujours malade....

Il serait de bon ton, il me semble, d'avoir la politesse, de la part, de ce connard de psychiatre, d'aller simplement poser la question au monsieur en question....

Parce que si elle prétend celà, il n'est pas dit qu'elle ait systématiquement "si tort que celà", et qu'il serait pour le moins opportun, de faire la versification, avant de faire une telle interprétation.... Ce que je veux dire, c'est que les sentiment humains, sont infiniment plus complexes, que certains voudraient le croire, et je suis mieux placée que quiconque, pour pouvoir en témoigner, quand aux comportements, pour le moins suspects, que ces sentiments peuvent générer.

Qui sait, le malade n'est peut être pas nécessairement, celui que l'on croit, (je ne vise personne).

Car si lui, est "au yeux du psychiatre", celui qui est "la cible", bien malin, tout psychiatre qu'il est, celui qui est en mesure de déterminer la nature des sentiment du monsieur en question..... Il est potentiellement possible, que ce soit LUI, la soit disant cible, qui est "le malade mental", voir.... LE PSYCHIATRE...

Et pour ceux qui se demandent où je me situe moi, par rapport à ça, je dirai que j'ai trouvé l'article intéressant, notamment sur le rôle accentuant, que jouent les réseaux sociaux....

Et si certains s’inquiètent, de mon cas, à moi, je précise qu'il m'est arrivé quelquefois, d'être internée, je ne sais plus quand, très brièvement, deux ou trois jours, et que mon désir de stopper toute relation, avec Thomas Fersen, ne provoquait chez les psychiatres, qu'un sourire attendri, pour finir par me dire.... "bien sûr que si, vous allez lui réécrire"....

Libre à chacun ensuite, d’interpréter ces paroles comme ça lui chante.....

Pour information, hormis, la première expertise, qui me descendait en règle, il y a bien des années, et qui a provoqué ma mise sous tutelle, les deux expertises qui ont suivi, m'ont systématiquement été refusées, à la lecture....

Je sais juste que la dernière qui fût brève, il y a deux mois environ, se trouve sur le bureau des juges des tutelles, à ROUEN.

J'ai toujours, depuis le début de ma mise sous tutelle fait le nécessaire juridiquement (appel, cour de cassation, demande d'expertise psychiatrique, etc...)pour que cette dernière soit levée.

Mais rien n'y faisait, il se trouvait toujours, "une bonne raison", pour que des prétextes purement administratifs, justifient le fait qu'elle ne se trouve pas levée...

Je suis convoquée, là, ce vendredi 4 avril, à 11H, le jour de mon anniversaire, pour "j'ose espérer", la voir levée définitivement.

Je précise que mon avocat, qui est chargé de mon divorce, depuis plusieurs années, a fait savoir qu'il désirait ne pas s'occuper de ma tutelle... Et pour être franche, je n'en vois pas l’intérêt....

D'une part, je ne suis accusée de rien, et d'autre part, en cas de nécessité, je suis capable de me défendre toute seule.

La présence de la tutrice elle, est par contre juridiquement indispensable, elle sera donc représentée par un collègue.