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Pervers manipulateurs.

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Pervers manipulateurs. Empty Pervers manipulateurs.

Message par Francoisenielaubin Jeu 25 Sep - 13:39

Les 7 signes pour détecter un vrai psychopathe.

On emploie souvent le terme de "psychopathe" mais sans savoir vraiment ce qu'il veut dire.

Je précise que je ne suis pas l’auteur, de ce texte, qui n’engage que son auteur, un pseudo, sur mon mur FB, d’un groupe traitant de ce sujet. Je poserai mon commentaire, perso, à la suite.

1-Il ne ressent rien pour les autres.

Les psychopathes ne ressentent rien pour les autres mais seulement pour eux. Ils ressentent bien biologiquement des émotions mais psychologiquement les troubles caractériels de leur maladie viennent troubler et altérer le ressenti de ces émotions. Ils n'ont aucun sentiment envers les autres. Toute émotion est ramenée à eux de n'importe quelle façon. Les autres ne sont que des objets qui servent à assouvir leurs envies.

Ce problème d'absence d'empathie explique pourquoi ils n'ont aucune morale et donc aucune limite à faire du mal à autrui physiquement et moralement. D'où leur dangerosité.

2-Il n'avoue jamais sa culpabilité.

Mensonges, manipulations, violence... Les psychopathes sont prêts à tout pour que chaque chose conviennent à leurs envies. Tout individu, lorsqu’il n’agit pas comme le psychopathe le souhaite, lui rappelle cette réalité qu’il déteste. Il n’est pas question de déni ou de fuite de la réalité, un psychopathe cherche juste à la modifier pour qu'elle soit conforme à l’idée que lui se fait. Si quelqu'un agit différemment, il fera tout pour le détruire. Et s'il fait du mal c'est uniquement parce que les autres l'ont bien cherché.

Jamais de leur faute ? Jamais un psychopathe n’avoue sa culpabilité. Il cherche à trouver n’importe quoi pour se justifier ou tente de manipuler l’autre pour lui faire croire que tout est de sa faute. "Pour satisfaire sa personnalité narcissique jamais le psychopathe ne doit baisser dans l'estime des autres. Il n’y a aucune préoccupation pour le sort de la victime, aucune expression d’amour et de remords" explique J.Reid Maloy, professeur de psychiatrie à l'université de Californie, dans son ouvrage Les psychopathes.

3-Il dévalorise les autres sans cesse.


Le psychopathe vit dans une réalité qu’il se fabrique. Tous les autres individus extérieurs le sortent de cette réalité et lui rappellent ce qu’il déteste. En conséquent, il a tendance à rabaisser les autres plus bas que terre continuellement. C’est une sorte d’extériorisation agressive afin de détruire tout ce qui peut lui faire mal. Un moyen d’attaquer les autres pour être sûr qu’il ne le blesse pas un jour. Etant un être tourné sur lui même, le psychopathe ne prendra pas le risque que quelque chose puisse toucher à l’estime qu’il a de lui. Pour arriver à ses fins, il est prêt à tout. Néanmoins il est important de ne pas confondre un pervers narcissique qui rabaisse pour son plaisir avec un psychopathe qui souffre d'une maladie violente beaucoup plus dangereuse

4-Aucune relation sociable durable.

Contrairement à ce qu’on croit, les psychopathes ont quelques facilités à nouer des liens avec les autres. Mais ces liens ne durent jamais. Comme une pause au milieu de la maladie, les psychopathes ont besoin des autres pour tester la réalité. Le problème c’est qu'à cause de leurs caractéristiques narcissiques, colériques et paranoïaques n’importe quelle personne viendra un jour heurter leur susceptibilité et déchaîner leur colère sans même le vouloir. Comme un mécanisme de défense, le malade va tenter de détruire l’autre, moralement ou physiquement. Quoiqu’il arrive, les psychopathes finissent par être isolés.

5-Paranoïaque, il s’énerve rapidement.

C’est dans son caractère colérique que l’on ressent le plus l’aspect d’un psychopathe. Cette particularité s’apparente à une sorte de délire paranoïaque parce qu'il veut être constamment admiré et envié. Les personnes réelles sont perçues comme des objets familiers mais néanmoins maléfiques qui attaquent et qui méritent la rage du psychopathe. Un événement bénin, une petite insulte ou même un regard de travers peuvent suffire à renvoyer au psychopathe l’impression qu’on ne le voit pas comme il le souhaiterait. L’expérience consciente de rage dans le processus psychopathique débouche typiquement sur la violence en l’absence de structuration du surmoi.

6-La tromperie continuelle.

Une personne atteinte de psychopathie a conscience du mal qu'elle cause à l’autre. Pour éviter que les autres ne fassent quelque chose qui lui déplaise ou l'angoisse, elle utilise la tromperie. Il y a une réelle intention de manipulation des autres pour le dénuer de tout attribut. Par ce moyen, le psychopathe est sûr de dominer et satisfaire sa personnalité narcissique.

7-Psychopathie : 3% d'hommes et 1% de femmes
La psychopathie est une maladie grave très peu connue qui touche 3% d'hommes et 1% de femmes.

C’est un trouble permanent du développement comportementale caractérisé par des comportements associables impulsifs et pour lesquels le sujet ne ressent aucune culpabilité.

Ce trouble psychologique peut interagir et ou accentuer d’autres troubles comme la schizophrénie ou la dépression bipolaire. Il existe plusieurs degrés dans la maladie pouvant aller de la psychopathie modérée à un passage à l’acte criminel et dangereux pour les autres. Elle ne peut être diagnostiquée avant 18 ans mais en générale on peut toujours constater des antécédents au cours de l'adolescence.
IMPORTANT : Celles et ceux qui me suivent ont pu lire de mes articles sur les pervers narcissiques et les manipulateurs destructeurs, sachez que cette catégorie d'individus ne se soignent pas car c'est leur nature, alors qu'un psychopathe, il le devient suite à différents événements de sa vie qui ont perturbé son mental, et là, la médecine neurologique (et pas psychiatrique) peut agir cette pathologie la "psychopathie".

Mon commentaire, à présent.

   Ce type d’individu, est très exactement ce que mon instinct me dicte de fuir, je pense que je suis assez douée, pour ça… ce qui me gêne un peu c’est le fait, qu’ils soient classés, comme ça, comme si on les rangeait, sur des étagères, ou pire, « comme des trophées »… Mais la maladie mentale, elle, ne devrait pas être une simple étiquette, qui plus est, est posée,  assez souvent, sur la mauvaise personne. Pour ma part, je suis désolée, mais je n’ai pas réussi, à faire la différence, entre les deux, catégories, la seule chose, que je vois, moi, c’est la dangerosité, de l’un équivalente, à celle de l’autre, et c’est tout.

  Je crois qu’il est plus subtil, et plus efficace, surtout, de bien discerner, quels sont les signes, qui doivent alerter et c’est plutôt l’abondance de ses signes, qui doit mettre la puce à l’oreille.
Quels sont ces signes ?

  Le fait de n’avoir recours, qu’à un mode de communication, qui exclut, le réel…..
   Le fait, qu’il ait recours au mensonge, systématiquement, version, « château en Espagne », lors, qu’il n’existe jamais la moindre trace, de la moindre concrétisation, du projet en question.

   Le fait, quand au contraire, ça se passe, dans la réalité, d’une relation, qu’il raconte sur lui, des choses, qui sont peu crédibles, voir fantasques, ce qui peut être apparenté, à une forme de mythomanie.

   Le fait qu’il se donne un mal de chien, pour toujours vous faire sentir, que quoi, que vous fassiez, il a un œil sur vous, généralement, il met alors, en branle, tout un filet, de protection, qui vous surveille, afin qu’il soit en mesure, d’être au courant, des moindres de vos faits, et gestes.

   Le fait, qu’il manifeste le fait, qu’il doit savoir, tout sur vous, strictement tout, et que rien ne lui échappe, se faisant passer, lui, alors, pour le sauveur, alors, que la totalité, des autres, amis, famille, ne sont que des personnes, méprisantes, et mal intentionnées.

   La moindre de vos inquiétude  alors,  est interprétée, par lui, comme un signe de faiblesse, de sa part, vous faisant passer vous, pour une femme faible, voir, « dérangée », au point, qu’il va vous conseiller, de consulter un psy, qu’ils sont généralement parfaitement capables, eux même, de manipuler, à plus forte raison, s’il s’agit, de vous faire passer, vous, pour malade mentale, au point de vous faire interner, puisque vous êtes irresponsable, et dépressive.

En cours d’écriture.


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Message par Francoisenielaubin Mar 7 Oct - 20:39

Témoignage 16/01/2014 à 10h05  (mes commentaires, sont en italique).
Moi, pervers narcissique manipulateur (il paraît)
Philippe L

Depuis quelques mois, le couple que ma compagne et moi-même formons est soumis aux vicissitudes de la vie commune. Après vingt ans passés en notre compagnie, l’amour commence à trouver le temps long. Néanmoins, nous sommes soucieux de maintenir l’unité de notre famille, en particulier pour notre fille.

Making of

Philippe, la quarantaine, est peut-être un pervers narcissique manipulateur. C’est en tout cas ce que disent les tests qui traînent sur Internet. C’est aussi ce que croit la psy de sa compagne.

Philippe l’est-il pour autant ? Son témoignage pose la question de l’auto-diagnostic, de l’irruption de termes médicaux dans le langage courant et de la médiatisation de ce nouveau « mal du siècle », comme disent les magazines. Mathieu Deslandes
Nous vivons les moments d’une banalité affligeante : remise en question de tout ordre, confidences aux amis qui se retrouvent tout à coup projetés dans l’intimité de notre couple qu’ils pensaient stable et exemplaire, séparation provisoire, des phrases du genre « l’important, c’est les enfants », la psychothérapie...

Là, il y a un tournant. Ma compagne, appelons-la Valérie, décide contre toute attente qu’il est temps d’aller voir un psy, que sa vie et notre couple en dépendent. Elle prend sa décision subitement, seule, mais quand elle m’en fait part, j’approuve, ayant moi-même suivi une psychanalyse salvatrice il y a une vingtaine d’année.

Une psychothérapie, c’est long, je le sais, et je ne m’inquiète pas du peu de résultats concrets immédiats. Valérie revient souriante et apaisée des séances bihebdomadaires et je me dis que la thérapie est sur la bonne voie.

Au bout de trois mois environ, Valérie m’expose la demande de la psychologue de me rencontrer, non pas comme nouveau patient, mais pendant la séance de ma compagne. Il me semblait que la psychothérapie était chose personnelle. Néanmoins, désireux de ne pas apparaître comme un frein au renouveau de notre couple, j’accepte.

Chez la psy, je joue le jeu mais ça part en vrille
Moi, je trouve que cette demande aurait du, être refusée, par le mari.

Pourquoi ?

Au départ le postulat, de sa démarche à elle, est d’entamer un travail seule, donc, le psy l’aiguillant sur mon chemin personnel…

Le fait, qu’il y ait une discordance, entre le postulat de départ, et ensuite, demander sa présence à lui, dans ses séances à elle, est à mes yeux, intrusif, et de façon malsaine et manipulatrice, de la part du psy.

Si au départ, la démarche avait été de la part de son épouse, « je consulte un psy, pour moi », dans hypothèse, ou cette dernière, souhaitait le rencontrer, lui, elle devait en demander l’autorisation, à sa patiente, d’une part, et procéder par courrier, et strictement par courrier, sans « utiliser », sa patiente, pour moi, sur le plan déontologique, c’est juste simplement, irrecevable, et de dirait même que ça relève de la pire manipulation.


Lors de la séance, la psy m’explique qu’il ne s’agit pas d’une thérapie de couple mais que ma vision de la situation lui permettra de mieux aider Valérie.

Pour moi, "largement irrecevable".

Dans cette hypothèse qui aurait pu être valable, et compréhensible, il eut été plus honnête de dire à l’épouse, « j’ai besoin d’éclaircissement, alors, je souhaiterai moi, recevoir votre mari, uniquement, lui, seul, pour avoir sa perception des choses », lui recevant un courrier officiel, de la psy, et ne passant pas par son épouse.


 Bon. Je joue le jeu. Mais je suis assez troublé de voir que les questions qui se posent concernent mon enfance et la relation que j’ai avec ma mère.

   Oui, en fait, telle que la demande a été formulée, par la psy, il fallait des le départ, la refuser purement et simplement, et lui adresser un courrier manuscrit, lui expliquant que vous n’avez pas à vous plier à une telle demande considérant le fait, que cette demande n’ait eu rien d’officiel.

(Désolée, mais un morceau du texte a été effacé involontairement).Je fais part de mon trouble. La psy me propose alors de revenir deux semaines plus tard. Entre-temps, une séance en solo aura lieu avec Valérie.

A la deuxième séance, la psy me rassure. Au bout d’une heure, elle semble satisfaite et m’indique m’avoir trouvé plus « présent », plus impliqué. Pourquoi pas. Surtout, tout le monde a l’air d’accord pour dire qu’il n’y aura pas de troisième rendez-vous, ce qui me convient parfaitement.

Plusieurs semaines passent et je trouve que Valérie s’enfonce dans la rancœur à mon égard, rappelant de manière incessante les blessures (surtout celles que je lui ai infligées) du passé. Moi, je souhaite avancer, aller de l’avant, faire des projets, sortir de cet écueil dans lequel nous nous trouvons.

Ma femme m’espionne. Je lis son carnet
Pire, je m’aperçois que Valérie m’espionne, recoupe mon emploi du temps et met en cause tout ce que je dis.

Bon elle n’a pas ou plus confiance en vous,  ce sont des choses qui arrivent ?  elle a peut être de bonnes raisons.

Et puis un soir, rentrant à la maison alors que tout le monde dort, je tombe sur un carnet noir du même type que ceux que j’utilise pour prendre mes notes. Je le prends et l’ouvre en m’étonnant de sa présence sur le bureau de Valérie.

C’est son écriture, ce carnet lui appartient. Curieux, je le parcours. Il y est question de manipulateurs pervers narcissiques (MPN).

En me couchant, je réveille sans le vouloir ma compagne. Elle s’inquiète aussitôt de son carnet, descend l’escalier quatre à quatre, et revient se coucher. Elle me dit : « Tu as lu mon carnet. » Je ne lui mens pas.

Je me rue sur Wikipédia

Elle me révèle que c’est un soulagement pour elle. Elle pense que le fait de l’avoir laissé est probablement un acte manqué provoqué par le fait qu’elle ne pouvait plus vivre dans le secret de ce qui y est noté.

Elle m’apprend que la psy a identifié, en deux séances, que je suis un manipulateur pervers narcissique. Qu’il est heureux que nous ayons eu une fille et non un fils car celui-ci en aurait bavé. Que cette maladie est une vraie « merde » qui fait que je détruis tout mon entourage.

Je tombe des nues. Je me rue sur Internet, Wikipedia et les forums pour découvrir de quoi je suis atteint. Cette maladie est effectivement une vraie merde : le MPN est une coquille vide, sans émotion vraie, qui simule un être humain dans sa perfection auprès du monde extérieur afin de mieux, dans l’intimité, exercer sa perversion au détriment de son conjoint qu’il s’arrange pour dévaloriser et pour vider de toute confiance en soi et de vitalité.

« Etes-vous MPN ? » Trente critères
Suite à cette révélation, je passe une nuit sans sommeil, pleine d’interrogations. J’ai lu des centaines de témoignages. J’ai effectué tous les tests des dix premières pages de Google du type « votre conjoint est-il MPN ? » ou encore « êtes-vous MPN ? », « si vous avez dix réponses sur quinze positive, il est possible que vous soyez MPN ». J’ai essayé d’évaluer jusqu’à quel point je peux présenter les symptômes qui définissent ma perversion.
Par exemple avec la grille d’Isabelle Nazare-Aga auteur du livre « Les Manipulateurs sont parmi nous » (éd. de l’Homme, mai 2013). L’auteur qualifie de manipulateur un individu qui agit au moins selon quatorze critères de cette liste :
• il culpabilise les autres au nom du lien familial, de l’amitié, de l’amour, de la conscience professionnelle ;
• il reporte sa responsabilité sur les autres, ou se démet des siennes ;
• il ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins, ses sentiments et opinions ;
• il répond très souvent de façon floue ;
• il change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations ;
• il invoque des raisons logiques pour déguiser ses demandes ;
• il fait croire aux autres qu’ils doivent être parfaits, qu’ils ne doivent jamais changer d’avis, qu’ils doivent tout savoir et répondre immédiatement aux demandes et questions ;
• il met en doute les qualités, la compétence, la personnalité des autres : il critique sans en avoir l’air, dévalorise et juge ;
• il fait passer ses messages par autrui ;
• il sème la zizanie et crée la suspicion, divise pour mieux régner ;
• il sait se placer en victime pour qu’on le plaigne ;
• il ignore les demandes même s’il dit s’en occuper ;
• il utilise les principes moraux des autres pour assouvir ses besoins ;
• il menace de façon déguisée, ou pratique un chantage ouvert ;
• il change carrément de sujet au cours d’une conversation ;
• il évite ou s’échappe de l’entretien, de la réunion ;
• il mise sur l’ignorance des autres et fait croire en sa supériorité ;
• il ment ;
• il prêche le faux pour savoir le vrai ;
• il est égocentrique ;
• il peut être jaloux ;
• il ne supporte pas la critique et nie les évidences ;
• il ne tient pas compte des droits, des besoins et des désirs des autres ;
• il attend souvent le dernier moment pour ordonner ou faire agir autrui ;
• son discours paraît logique ou cohérent alors que ses attitudes répondent au schéma opposé ;
• il flatte pour vous plaire, fait des cadeaux, se met soudain aux petits soins pour vous ;
• il produit un sentiment de malaise ou de non-liberté ;
• il est parfaitement efficace pour atteindre ses propres buts mais aux dépens d’autrui ;
• il nous fait faire des choses que nous n’aurions probablement pas fait de notre propre gré ;
• il fait constamment l’objet des conversations, même lorsqu’il n’est pas là.
Toutes les pages web que j’ai lues sont unanimes : il faut quitter (et c’est très dur) un MPN, il n’y a rien d’autre à faire.
Difficile d’en parler à mes amis
Comment se fait-il que la psy de Valérie ne le lui ait pas dit ? Suivant les dires de ma compagne, elle lui a juste indiqué qu’« il y a beaucoup de présomptions que je sois un MPN ». Mais si Valérie encourt un danger auprès de moi, cela l’aide-t-il de savoir une telle chose sans qu’un conseil direct lui soit donné ?
Suis-je MPN ? Dois-je retourner voir un psy ? Lequel ? Va-t-il me dire si je suis MPN ? S’il me le dit, l’entendrais-je ? Pourquoi mon psy d’il y a vingt ans ne m’a rien dit ? Pourquoi la psy de Valérie ne lui a pas conseillé de décamper ? Pourquoi Valérie ne veut pas me quitter ? Un psy peut-il repérer un MPN au bout de deux séances ?

La une du Nouvel Observateur, 15 mars 2012
Difficile d’en parler à mes amis, de leur demander leur avis. Valérie m’a assuré, depuis, ne pas croire sa psy. Peut-être suis-je juste un peu narcissique... Alors je passe par plusieurs phases. Parfois je cherche un « bon » psy, parfois je me dis que de toute façon c’est incurable, alors autant vivre ma vie et on verra bien.
Je me demande surtout si la médiatisation à outrance de la maladie psychiatrique et la banalisation du langage sur ce sujet ne conduisent pas à déceler en chacun de nous un malade mental. Et si cette dérive ne touche pas les professionnels. Ou alors je suis fou ?
(en cours d’écriture).

Un père, séparé, parle.

Je ramène ma fille a sa mère après des vacances passées chez moi. Je l'avais récupérée avec une bronchite une laryngite ainsi qu'une conjonctivite. Mon médecin soupçonne une allergie il va falloir lui faire voir un allergologue pour qu'elle y fasse un test... sa mère me dit s'en occuper. Un rdv avait soit disant été pris. Mais elle ne l'a jamais emmenée.

3mois après je prends les choses en main mais mon ex ne l'entends pas de cette oreille.

Changement de discours, maintenant elle s'y oppose elle me dit que c'est un test très dangereux qui en plus va la traumatiser mais que comme d'habitude le bien être de ma fille ne m'intéresse pas. De toute manière toujours selon elle cela ne me concerne en rien. Elle déclare ensuite que c'est à chaque fois qu'elle revient de chez moi qu'elle est malade.

Il est possible, que ce soit vrai. Il est possible, si c’est vrai, que la cause soit purement et simplement, d’ordre physique, à cause des acariens, uniquement, et aucunement, pour une cause qui serait d’ordre purement psychologique, alors, il ne faut pas dramatiser. Faite donc, le nécessaire, côté allergène, et prouvez lui qu b vous faite vraiment le nécessaire, factures à l’appui, s’il le faut, pur l’empêcher, elle, d’utiliser l’allergie de son enfant, comme outil, qui servirait à vous écarter de votre petite fille.[/i]
 
Elle compte l'emmener chez le médecin pour faire constater cela. Selon elle ses bronchites à répétition sont certainement en rapport avec le fait que lorsque ma fille rentre de chez moi elle et ses vêtements "puent" le tabac et qu'elle compte également le faire constater.

[i]Sur ce point et si votre enfant est allergique, mais si elle ne l’était pas, le fait de fumer, en présence, d’enfants, est dommageable.

Le problème réside dans le fait, que si votre couple n’était pas en rupture, jamais elle n’aurait utilisé cet argument, pour vous nuire, ne vous laissez pas faire.

Problème....

je n'ai jamais été fumeur. Elle le sait pourtant bien.
Ha, dans ce cas « délit de mauvaise foi » .

Un autre témoignage.

Une semaine ou tout va bien !? il m’aide beaucoup pour les enfants, patient, toujours avec nous, aucune réflexion, aucune agression...!? que se passe t il? que prépare t il!? je suis pas tranquille! Effectivement, une lune en se moment! Attention c est partie ! j essais de garder mon calme car a chaque discussion je me fais agresser, aucune patiente avec les enfants, monsieur est fatigué! forcement quand t on s amuse sur le net jusqu’ a 3 h du matin a draguer les minettes, pourvu qu’ il ne touche pas a l alcool!!!par pitiée!quand il sort le soir je suis en panique total car l alcool le rend violent .

[i]Visiblement, cet homme va très mal et quand il fait de véritables efforts il ne le fait que pour vous « acheter ». mais il n’est pas sincère.[/i]

[i]Je ne saurai trop vous recommander moi de vous séparer, si ce que vous racontez, est la vérité.

Ce climat, est particulièrement malsain, pour vous, et vos enfants.
[/i]
Lui, doit vivre seul, quelques temps, et vous vous devez vous protéger vous, ainsi que vos enfants.

Les coups, doivent déjà tomber, puisque vous parlez de violence conjugale, détalez, avant d’arriver vous, ou un de vos enfants, à l’hôpital.

je dois partir pour les vacances d octobre dans son pays pour voir sa famille qui est adorable. Adorable!?

Oui, mais visiblement ils ne connaissent pas la  gravité de la situation.

... j espere je sais plus pourquoi PN etait il si gentil?

Pour vous  acheter, il n’était pas sincère.

que j accepte de partir avec lui et le enfants?

Oui effectivement et aussi, sauver les apparences.

je sais plus je suis fatiguee ma tete s embrouille....

c’est normal, la souffrance paralyse, et fait perdre le nord.

j ai l impression de devenir parano. C’est normal, là encore, vous ne l’êtes pas, vous êtes réaliste, vous devez trouver un endroit, où partir, pour vous refaire.

j ai l impression que tout le monde est faux qu ils sont tous mauvais et les femmes c est pire !!! je ne supporte même plus qu’elles me regarde !

Comme quoi, la maison transgénérationnelle, « classique », n’est pas suffisante, mais je le savais déjà, quand une femme, en est à ce point, seul un endroit, tenu par des femmes  est souhaitable, dans un premier temps .

j ai l impression d être jugée et quand je me promène avec pn j ai l impression d etre trensparente et lui ne fais rien pour arenger les chose il les regarde avec son regard perver! il les allume devant moi normal!ca me bouf ca!!!!

Moi, je pense que c’est un grand malade, voilà, la vérité.

et mes enfants dans l histoire , subisse mes changement dumeur s en comprendre se qui m arrive !car ils sont trop petit pour comprendre et du cou c est maman qui et mechante !

Oui, c’st logique come tu vs mal, to comportement vis-à-vis d’eux, s’en ressent, ça n’est pas ta faute.

papa pn et gentil! c est dur ca fait 3 ans que ma vie est comme ca.mais je reviens toujours vers lui. alors pn a encors gagné!

Un autre.

Je ne suis plus une maman
J ai l impression de n avoir été qu une mère porteuse pour PN, depuis qu’ il a réussi à obtenir la garde des enfants
Il m a tout pris
Je ne suis plus rien
Mais il continu de s acharner
J en ai assez mais cette pensée m obsede
Redeviendrais je un jour la maman que j étais pour mes enfants
Oui bien sûr que oui. Si tu as un travail concentre toi, sur ce travail.

Il est nécessaire, que quelqu’un, d’extérieur, à ta famille, ou ta belle famille, la personne qui tient, la maison transgénérationnelle, pourrait remplir cette mission,  corrige, l’image négative, que tes enfants, ont de toi, tu ne met rite pas, de les avoi perdu, mais peut être les reçois tu , si oui comment ça se passe ?

Si ça se passe si mal, qu’est ce qu’il ste reprochent ? que te disent ils ?

La maison transgénéraionnelle, pourrait parfaitement répondre à cette problématique, t’accueillir, toi, en résidence totale, le temps de te refaire, corriger l’image négative, qu’ont les enfants, et surtout,  recevoir le père, seul, sans vous, et sans les enfants, pour lui remettre les point sur les i, à votre sujet.
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